Viel los auf dem Flughafen FindelBeaucoup d’activités à l’aéroport FindelViel los auf dem Flughafen Findel

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L’aéroport de Findel, le seul aéroport du Luxembourg, est toujours très fréquenté. Chaque année, quelques millions de personnes partent ou arrivent de cet aéroport et des centaines de milliers de tonnes de marchandises y entrent et en sortent. Des milliers d’employés garantissent le bon déroulement des opérations en toute sécurité. De Piwitsch s’est entretenu avec certains d’entre eux sur leur métier.

Pourquoi l’aéroport est-il situé à Findel ?

Il y a 100 ans, il n’y avait que des prés et des champs à l’endroit où se trouve aujourd’hui l’aéroport. Les avions n’existaient pas encore depuis longtemps. Lorsque les Luxembourgeois ont commencé à acheter un avion, ils ont cherché un endroit pour décoller et atterrir : Ils ont trouvé un champ au Findel, non loin de la capitale. Ils ont pu y pratiquer leur hobby.

Il n’a pas fallu longtemps pour que le gouvernement ait des projets pour relier le Luxembourg aux lignes aériennes commerciales qui n’existaient que depuis peu. En 1937, le Parlement décida par voie législative de construire un aéroport. Mais cette construction n’a pas pu avoir lieu à cause de la Seconde Guerre mondiale. Après l’invasion du Luxembourg par les nazis, ceux-ci utilisèrent l’aérodrome pour transporter des soldats et du matériel de guerre. L’aéroport de Findel n’a été construit qu’en 1945, une fois la guerre terminée. En 1948, la compagnie aérienne nationale Luxembourg Airlines a été créée. Aujourd’hui, elle s’appelle Luxair.

Une piste de quatre kilomètres de long

L’aéroport de Luxembourg n’a qu’une seule piste de décollage et d’atterrissage. Cela signifie que lorsqu’un avion décolle, aucun autre ne peut atterrir et vice versa. La piste fait 4.000 mètres de long et 60 mètres de large. Il faut 300.000 tonnes d’asphalte – le poids d’environ 250.000 voitures – pour la recouvrir. En 2021, la piste a été entièrement rénovée et équipée d’éclairages LED modernes.

Plus de 93 300 mouvements d’avions

Par « mouvement aérien », on entend le décollage et l’atterrissage. Plus de 93.300 mouvements de ce type ont été recensés l’année dernière. Parmi eux, environ 18.900 mouvements ne dépassaient pas les frontières du Luxembourg. Cela s’explique par le fait qu’il y a aussi de l’aviation sportive au Luxembourg. Certains petits avions ne volent qu’au-dessus du Grand-Duché.

Si l’on ne compte que les décollages et les atterrissages qui dépassent les frontières du pays ou qui proviennent de l’étranger, on arrive à plus de 1.400 par semaine. Plus de quatre millions de passagers ont été transportés via l’aéroport de Luxembourg en 2022. Environ la moitié a atterri au Luxembourg, l’autre moitié en a décollé. Près d’un million de tonnes de fret ont été déchargées à l’aéroport en 2022 ou ont été transportées dans le monde entier à partir de l’aéroport.

Les pompiers de l’aéroport

Des pompiers travaillent 24 heures sur 24 à l’aéroport du Findel. Ils disposent de matériel spécial pour pouvoir intervenir immédiatement si quelque chose se passe au Findel, par exemple si un avion prend feu ou si du kérosène s’enflamme. C’est pourquoi les pompiers de l’aéroport disposent de camions d’extinction plus puissants que les camions d’extinction traditionnels des pompiers. Les pompiers de l’aéroport existent depuis plus de 50 ans.

Wichtiger Radar

Aucun aéroport ne peut fonctionner sans radar. En effet, sans ce dispositif, il est dangereux d’atterrir de nuit, sous la pluie ou dans le brouillard. Le radar indique précisément aux personnes dans la tour où se trouve un avion. Dans la tour se trouvent des contrôleurs aériens qui voient sur leurs écrans quels avions s’approchent ou s’éloignent du Findel autour de l’aéroport et jusqu’à une hauteur d’un kilomètre. D’autres contrôleurs et contrôleuses observent les avions qui survolent tout le pays. Ils ont également un œil sur les régions autour du Luxembourg.

La sécurité est la priorité absolue

La sécurité des aéroports est importante pour protéger les passagers et le personnel. Avant chaque voyage en avion, les bagages sont scannés et les voyageurs sont contrôlés afin de détecter tout objet dangereux. Les objets tranchants comme les couteaux ou les ciseaux sont interdits dans les bagages à main. Le scanner affiche sur un écran différents types de matériaux. Une tartine de beurre, par exemple, s’illumine en orange. Il en va de même pour les explosifs. Le métal s’illumine en bleu et les pièces électroniques en vert.

Cliquez ici pour voir le reportage sur les contrôles de sécurité à l’aéroport.

Sans la tour, rien ne vole

Dans un aéroport, il y a une haute tour appelée tour de contrôle. A l’intérieur de la tour se trouvent des contrôleurs et contrôleuses aériens qui surveillent le trafic sur la piste d’atterrissage et dans les airs. C’est très important pour la sécurité aérienne. Ils donnent aux pilotes des instructions sur le moment où ils peuvent décoller ou atterrir et sur l’altitude à laquelle ils doivent voler. Ils s’expriment par radio et utilisent des mots spécifiques pour que tout le monde comprenne exactement ce qu’ils veulent dire.

Par exemple, ils disent « cleared for takeoff » pour donner l’autorisation de décoller. Les contrôleurs aériens voient sur de grands écrans où se trouvent les avions et où ils veulent aller. Ils ont également accès aux plans de vol et aux informations sur la météo. Sans la tour de contrôle, les avions pourraient entrer en collision ou d’autres dangers pourraient survenir dans l’aéroport.

Cliquez ici pour accéder au reportage sur la Tour.

Cargolux : du cure-dents à la baleine

La société luxembourgeoise Cargolux possède d’énormes avions avec lesquels elle transporte des marchandises dans le monde entier. Il peut s’agir d’objets très petits ou très grands et lourds, et parfois même d’animaux, comme une baleine. Le chargement d’un avion doit être très précis et toutes les marchandises doivent être arrimées de manière à ne pas bouger pendant le vol. C’est Tina Schmitt, la « loadmaster », qui s’en occupe. Les avions de Cargolux sont gigantesques. Pour le chargement, il est même possible de relever leur nez.

Cliquez ici pour lire le reportage sur la « loadmaster » Tina Schmitt.

D’où provient le carburant pour les avions ?

Le Findel est un aéroport de l’OTAN. L’OTAN est une alliance internationale de défense dont le Luxembourg fait également partie. En cas de guerre, le Findel peut être utilisé comme aéroport militaire. C’est pourquoi l’aéroport dépend d’un pipeline – c’est un grand tube dans lequel circule le carburant, le kérosène. Ce tube traverse la moitié de l’Europe. Mais comme il y a parfois des problèmes sur cette canalisation, il est désormais prévu de construire un énorme réservoir de kérosène sur le Findel. Ainsi, l’aéroport ne sera pas rapidement à court de carburant pour ses avions.

Technique aéronautique : chaque câble est important

En cas de problème technique sur un avion, la situation peut devenir très délicate dans les airs ! Pour éviter cela, il existe des mécaniciens et des mécaniciennes hautement spécialisés qui connaissent chaque câble et chaque vis de l’avion. Raoul Roller suit actuellement une formation d’avionicien. Il s’agit d’un mécanicien aéronautique qui connaît particulièrement bien l’alimentation électrique et les systèmes informatiques des avions.

Hier geht es zur Reportage über den Avioniker Raoul Roller.

Avec le capitaine Charles dans le cockpit

De Piwitsch a pu jeter un coup d’œil sur le lieu de travail du commandant de bord Charles Victor. En tant que pilote, il est le capitaine de l’avion. Il est chargé de veiller à ce que l’avion vole en toute sécurité d’un endroit à un autre. Avant le vol, il vérifie l’avion et s’assure que tout est en ordre. Pendant le vol, les pilotes doivent constamment faire attention à la météo, à l’altitude et à la vitesse. Ils communiquent également avec la tour de contrôle pour s’assurer que l’avion est sur la bonne route de vol et qu’aucun autre avion ne s’approche trop près. En cas de problème, ils doivent agir rapidement. La sécurité des passagers est leur priorité absolue !

Cliquez ici pour accéder au reportage sur le pilote Charles Victor.

Le rêve de voler

Ted Staggs adore prendre l’air, que ce soit en tant que pilote ou parachutiste. Lorsqu’il a passé son premier brevet de pilote, il n’avait que 17 ans. Aujourd’hui, il est instructeur pour les futurs pilotes. Ted a expliqué à Piwitsch ce qui le fascine tant dans le vol, comment se déroule la formation de pilote, à quoi un pilote doit faire attention et quel est le métier de ses rêves.

Hier geht es zur Reportage über Ted Staggs.

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